Quels sont les pouvoirs du juge de l’exécution ?

Le juge de l’exécution, également appelé JEX, a été créé par la loi. Le juge de l’exécution est une fonction judiciaire qui s’occupe des affaires judiciaires ou des complications dans les affaires civiles. La possibilité de forcer une décision par le recours au blocus s’accompagne d’une procédure spéciale.

Le juge de l’exécution ou JEX et ses attributions

Le tribunal judiciaire est le lieu où les jugements sont rendus. Toutefois, le juge de l’exécution relève par ailleurs de sa compétence, qui statue sur toutes les questions administratives liées aux exécutions telles que la mise en œuvre des mesures ou des décisions rendues par un juge. Le débiteur ou le créancier peut choisir de recourir au tribunal judiciaire pour faire exécuter ses obligations ou réclamer ce qu’il doit. Il sursoit aux paiements en cas de contestation sur une saisie. Ce juge intervient dans les litiges. Une mesure de précaution est définie comme toute mesure prise pour éviter une perte ou un gain. Il peut être obtenu au moyen d’une citation à comparaître, qui informe une personne qu’une action en justice a été intentée contre elle et lui ordonne de comparaître devant le tribunal. Alternativement, un écrit formalisé connu sous le nom de demande peut être utilisé pour contraindre quelqu’un à comparaître devant le tribunal. Le rôle d’un avocat n’est pas requis devant un JEX, uniquement dans les cas où la forclusion est envisagée. Chaque JEX doit être accompagné d’un représentant. Avant le JEX, un conseiller juridique n’est pas nécessaire pour l’une ou l’autre des parties impliquées dans une affaire. Pour imposer leur présence au tribunal, ils doivent présenter un mandat écrit du juge. Et pour émettre des ordonnances, ils n’ont qu’à présenter un juge. En ligne, vous pouvez trouver plus d’informations concernant les pouvoirs du juge de l’exécution.

Les compétences du JEX

Le champ des compétences du jex s’étendent au-delà de ses attributions. Cela comprend le jugement des litiges liés aux saisies de biens, aux procédures impliquant des poursuites judiciaires, etc. D’autres responsabilités consistent à décider si des mesures de précaution ont été prises et à entendre les réclamations concernant les procédures de paiement. Vous pouvez également entendre des cas sur des questions d’endettement qui nécessitent l’attention d’un juge. De plus, les JEX peuvent agir en tant que juges des grâces, statuer sur les poursuites, décider des politiques de saisie non autorisée et autoriser les décisions unilatérales. En faisant appel devant un tribunal judiciaire compétent où l’affaire a déjà été tranchée ou où réside le débiteur, un JEX ne peut être pris que par une personne ayant une réclamation légale appropriée. Ce n’est qu’alors qu’il peut être présenté au tribunal JEX, qui n’accepte que les cas dans lesquels le titre a déjà été correctement sécurisé. Passé le délai d’appel d’une affaire, un justiciable n’a accès au JEX que par l’exécution forcée d’un jugement. Toute personne peut déférer une affaire à un juge de l’exécution en délivrant une citation à comparaître. Les huissiers peuvent également rédiger ces ordonnances. La saisine du greffe d’un tribunal territorial permet à quelqu’un de demander une ordonnance d’expulsion.

Le pouvoir du juge est limité par la loi

Les parties sollicitent fréquemment l’aide du juge d’exécution pour les obliger à respecter un délai de paiement ou à lever une mesure conservatoire ou une saisie définitive. Une fois qu’une décision judiciaire est rendue, ce juge ne peut pas reconsidérer l’affaire. Seuls les délais légaux peuvent être modifiés ; sinon, les décisions des tribunaux sont immuables. Indépendamment du fond, un appel au juge qui a présidé l’exécution est une ligne de conduite appropriée. Selon l’article R121-1 du code de procédure civile, l’alinéa deux précise la procédure de saisie-attribution. Il stipule que deux conditions doivent être remplies pour attribuer la saisie à une partie spécifique. Le juge ne peut pas modifier la décision du tribunal qui a engagé la procédure ou suspendre son exécution. Cependant, le juge peut accorder un délai de grâce après avoir notifié tout avis juridique, tel qu’un bref de saisie ou une ordonnance, ou lorsque la procédure judiciaire a déjà commencé. 

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